Et tout devient simple !
De récentes études le confirment : les femmes ont un champ visuel plus large que celui des hommes. Elles voient tout ! Cette particularité remonte, parait-il, aux temps préhistoriques ou durant des millénaires, les femmes ont dû tout surveiller dans la grotte (le feu, les marmots, les prédateurs) pendant que l'homme allait au mammouth, loin du foyer.
De récentes études le confirment : les femmes ont un champ visuel plus large que celui des hommes. Elles voient tout ! Cette particularité remonte, parait-il, aux temps préhistoriques ou durant des millénaires, les femmes ont dû tout surveiller dans la grotte (le feu, les marmots, les prédateurs) pendant que l'homme allait au mammouth, loin du foyer.
Ce qui explique, au passage, la raison
pour laquelle l'homme réussit toujours à retrouver sa tanière alors que la femme
est un peu paumée dès qu'on lui met une carte routière entre les mains. C'est
connu. Ce particularisme peut aussi éclairer une question de
société revenue soudain au devant de l'actualité : qui fait le ménage à la
maison ?
L'homme, en raison de la faiblesse de son champ
visuel, souffre d'un handicap manifeste. Depuis l'antiquité, il a dû mettre la
main en visière pour regarder au loin l'état de la mer, le vol des oiseaux et le
profil des nuages pour son labeur quotidien.
Il a développé une acuité lointaine donc intelligente, qui, par ricochet, a réduit son champ visuel périphérique et sa capacité à bien distinguer certains détails de près.
Il a développé une acuité lointaine donc intelligente, qui, par ricochet, a réduit son champ visuel périphérique et sa capacité à bien distinguer certains détails de près.
Ainsi la femme dit à l'homme : « tu vois la poussière
là ? " l'homme répond invariablement «
de la poussière, où çà ? »
C'est scientifiquement prouvé, l'homme ne voit pas la poussière alors qu'il voit très bien, de loin, la marque de la nouvelle voiture du voisin, ou le string de la voisine, comme au temps jadis où il chassait l'antilope.
Cette étroitesse du champ visuel explique aussi la raison pour laquelle l'homme n'est pas fait pour la vaisselle. 83,67 % des assiettes ébréchées sont directement en lien avec cette incapacité de l'homme à bien distinguer tous les obstacles angulaires situés entre l'évier et le placard. Bing ! Et souvent la femme doit intervenir (« laisse, je vais le faire moi-même »), consciente de la déficience visuelle de son descendant de chasseur. Ce handicap se vérifie aussi dans le test du frigo. L'homme est capable de trouver des aliments dont il connait le pré-positionnement dans l'espace, comme les bières ou les glaçons. En revanche, le test de la plaquette de beurre est implacable. L'homme ouvre le frigo. Conscient de l'étroitesse de son champ orbital, il regarde à droite, à gauche, en haut, en bas. Mais du coup, il ne pense pas à regarder au milieu, là où justement se trouve la plaquette de beurre.Et ne parlons pas de la machine à laver et de sa programmation réservée à des êtres qui voient de près. L'homme voit loin et c'est ce qui fait sa puissance.
C'est scientifiquement prouvé, l'homme ne voit pas la poussière alors qu'il voit très bien, de loin, la marque de la nouvelle voiture du voisin, ou le string de la voisine, comme au temps jadis où il chassait l'antilope.
Cette étroitesse du champ visuel explique aussi la raison pour laquelle l'homme n'est pas fait pour la vaisselle. 83,67 % des assiettes ébréchées sont directement en lien avec cette incapacité de l'homme à bien distinguer tous les obstacles angulaires situés entre l'évier et le placard. Bing ! Et souvent la femme doit intervenir (« laisse, je vais le faire moi-même »), consciente de la déficience visuelle de son descendant de chasseur. Ce handicap se vérifie aussi dans le test du frigo. L'homme est capable de trouver des aliments dont il connait le pré-positionnement dans l'espace, comme les bières ou les glaçons. En revanche, le test de la plaquette de beurre est implacable. L'homme ouvre le frigo. Conscient de l'étroitesse de son champ orbital, il regarde à droite, à gauche, en haut, en bas. Mais du coup, il ne pense pas à regarder au milieu, là où justement se trouve la plaquette de beurre.Et ne parlons pas de la machine à laver et de sa programmation réservée à des êtres qui voient de près. L'homme voit loin et c'est ce qui fait sa puissance.
Alors
devant tant d'évidences, peut-être faut-il cesser 'évoquer le machisme ou la
fainéantise dans la réticence de l'homme à faire certaines tâches ménagères
au-dessus de ses forces. C'est juste une question de champ
visuel inadapté à l'étroitesse du territoire domestique.
Mais il ne faut pas désespérer : maintenant que l'homme ne chasse presque plus, son champ visuel va lui aussi s'élargir. Et un jour, il deviendra enfin l'égal de la femme dans la maîtrise des arts ménagers. Disons, dans quelques millénaires…
Mais il ne faut pas désespérer : maintenant que l'homme ne chasse presque plus, son champ visuel va lui aussi s'élargir. Et un jour, il deviendra enfin l'égal de la femme dans la maîtrise des arts ménagers. Disons, dans quelques millénaires…
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