CINECITOYEN-NC

samedi 2 novembre 2013

Pour aller plus loin dans "Maladies à vendre"....

voici un lien concernant "la vérité sur le cholestérol" : qui illustrent bien l'inutilité des statines dans le traitement du mauvais cholestérol.

 http://news.doctissimo.fr/Sante/La-verite-sur-le-cholesterol-le-livre-polemique-du-Pr-Even-31290



Philippe even

Vous souvenez vous du Cholestérol ? son excès frapperait des millions de français...
Relisez BIEN l'interview ci-dessous du professeur de Lorgeril, chercheur et cardiologue,
qui a révélé l'arnaque  dans son livre (2008) Cholestérol, Mensonges et Propagande :  Tout est dit très clairement



Cholestérol : "7 millions de Français prennent un traitement pour rien !"

Le Point.fr - Publié le 16/02/2013  Le Dr Michel de Lorgeril, cardiologue et chercheur, alerte depuis plus de dix ans sur le mauvais procès fait au cholestérol et les dangers des médicaments anti-cholestérol.

 
Le Point.fr : Le cholestérol ne serait donc pas dangereux ?
Dr Michel de Lorgeril : Au contraire ! Il est à l'origine d'un nombre incalculable de fonctions, indispensable au bon fonctionnement des cellules, des muscles, des neurones, du coeur, du cerveau et de la digestion.
Sans lui, pas de communication entre les cellules ; il est à l'origine des hormones sexuelles, de celles du stress, de la reproduction, et de la très précieuse vitamine D. Le perturber avec des médicaments, c'est jouer à l'apprenti sorcier.
Pourtant, on parle du mauvais cholestérol...    Il n'y a pas de cholestérol bon ou mauvais, c'est un mythe.
Ce qui est mesuré n'est pas le cholestérol mais ses transporteurs : les lipoprotéines ou LDL (désignées comme mauvais cholestérol) transportent le cholestérol du foie, où il est fabriqué, vers les tissus qui en ont besoin, et les HDL transportent les excédents des tissus vers le foie. C'est tout.
Il ne serait pas responsable des accidents cardiovasculaires, comme on le dit ? (…) c’est seulement un médiocre marqueur de risques. Mais pour connaître les risques cardiovasculaires, mieux vaut interroger les gens pour savoir comment ils vivent vraiment et examiner consciencieusement chaque artère par la palpation et le stéthoscope.
D'après, vous le cholestérol ne bouche pas les artères...
Tous les cardiologues savent qu'un infarctus du myocarde est dû à une occlusion artérielle aiguë, elle-même toujours causée par la formation d'un caillot de sang. Or, on connaît bien le processus biologique qui conduit à ce phénomène : plaquettes sanguines, fibrinolyse, coagulation du sang... Cela n'a rien à voir avec le cholestérol !
On a aussi accusé le cholestérol d'être responsable
de l'altération lente et progressive de l'artère (athérosclérose).
Cela est faux
, car, dans ce dernier cas, le cholestérol est présent au maximum à 10 %.
Donc, prendre des anti-cholestérol ne servirait à rien ?
Prendre une statine, la principale classe d'anti-cholestérol, n'améliore l'espérance de vie de personne. Aujourd'hui, les recommandations officielles sont dépassées car fondées sur des études très anciennes.
Le discours classique incite toujours à prescrire des statines après un infarctus du myocarde. Pourtant, toutes les études scientifiques récentes depuis 2005-2008, n'ont jamais pu vérifier cette hypothèse.
Il serait urgent de rediscuter de toutes ces recommandations officielles. Mais ces dernières sont écrites lors de réunions de consensus, majoritairement financées par l'industrie pharmaceutique, comme d'habitude. Personne n'a donc intérêt à revenir sur des recommandations qui datent de plus de 15 ans. Enfin, plus grave, 90 % des prescriptions sont destinées à des personnes qui n'ont jamais eu d'infarctus et donc à des bien-portants ! On imagine le marché....
Combien de personnes sont concernées par les traitements ?
En France, environ 7 millions de personnes consomment plus ou moins régulièrement des statines, soit 1,5 milliard d'euros de dépenses pour l'Assurance maladie ! Avec les effets secondaires que l'on connaît. Les patients peinent à faire entendre leurs plaintes de douleurs musculaires ou de problèmes de mémoire (…) Pourtant, les douleurs musculaires sont un effet bien connu des statines : 15 à 50 % des patients seraient concernés. Les médecins n'osent pas arrêter le traitement, de crainte d'être poursuivis car cela ne rentre pas dans la ligne des recommandations officielles.
Outre qu'elles sont inutiles, vous dites des statines qu'elles sont dangereuses...  Absolument. Malgré les arguments du marketing, les statines n'ont aucun bon effet, sauf baisser le taux de cholestérol, ce qui, en réalité, ne protège nullement le coeur. Elles pourraient être éventuellement utiles pour certaines pathologies rarissimes, et encore... En revanche, à forte ou à moyenne dose, on augmente les risques de cancer, de troubles sexuels, de diabètes, des risques également oculaires, cognitifs, voire psychiatriques, et on empoisonne les muscles.

Quelle est la solution?  (…)
On essaie de résoudre ce problème tout en préservant le business. Les États et les autorités sanitaires ne veulent surtout pas un mouvement de panique. Les statines sont le plus gros marché du médicament mondial. Imaginez 30 millions d'Améri- cains qui ont pris des statines pendant X années, à qui on annonce un beau matin qu'on a augmenté de 50 % leur risque d'avoir un cancer, alors que les données existent depuis 10 ans... Le genre de scandale qu'on essaie d'éviter.
Que conseillez-vous donc aux gens qui ont du cholestérol ? Il peut être un marqueur, très peu fiable, d'un risque cardiovasculaire, mais ce sont surtout nos habitudes de vie qui sont en cause : le tabac, la sédentarité, une mauvaise gestion du stress et l'alimentation. (…)Il faut tout simplement privilégier une diète méditerranéenne : peu de crème, de viande, de beurre et privilégier des aliments de qualité, sans pesticides, de l'huile d'olive, des poissons, des céréales complètes, des fruits et légumes... et parfois un bon verre de vin !
Et à ceux qui ont déjà fait un infarctus?  On leur raconte des mensonges !
Personne n'est condamné parce qu'il a déjà fait un infarctus ! On peut sauver son coeur et retrouver un risque comparable à ceux qui n'ont jamais eu d'infarctus par une réforme de son mode de vie, et cela sans statines. L'effort doit porter là-dessus.




Et puis .. un bel exemple : comment une revue "scientifique" peut nous embrouiller => cf article et  vidéo de Sciences et Avenir de sept. 2009
http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/cholesterol/20130902.OBS5213/cholesterol-entre-vrais-espoirs-et-fausse-piste.html
http://www.youtube.com/watch?v=vIbEnuf0Suc

On y mixe hypothèses, certitudes et erreurs ( on ne "souffre" pas du cholestérol )
on y parle de Vérité sans dire Comment et par Qui des erreurs énormes (et profitables)  ont perduré
on évoque une prise de conscience en 2013 sans même nommer le professeur de Lorgeril (voir + haut) (2008)
On nous annonce que la "communauté scientifique"  est déjà sur le "vrai espoir" d'une "molécule révolutionnaire "

A méditer 

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