CINECITOYEN-NC

lundi 23 mai 2016

mardi 10 mai VACCINS : LES DOUTES


Le fossé se creuse entre les discours officiels, présentant les vaccins comme éléments incontournables d’une politique de santé, et la méfiance populaire devant leurs effets secondaires et leur efficacité que l’on estime déformés par de possibles conflits d’intérêts 

Comment distinguer le vrai du faux, les abus des rumeurs?
Ne peut on laisser aux familles plus de liberté de choix vaccinal ? Que penser de la vaccination massive au Gardasil ? Et pourquoi un calendrier vaccinal calédonien aussi lourd ?

A la suite d’un montage vidéo critique sur les vaccins, de réponses d’un expert de l’OMS, et avec la participation de la DASS, CinéCitoyen propose à ses adhérents un débat sur ce sujet brulant…  en tentant d’éviter les écueils du manichéisme 


7 commentaires:

  1. Vaste sujet, vastes enjeux. Nous n'étions pas venus pour polémiquer mais pour échanger avec l’espoir de repartir plus confiants qu’à l’arrivée.
    Film très intéressant, avec un gros travail de la part de l’équipe de CC pour intégrer plusieurs ITW différentes dans un documentaire originel présentant l’historique depuis la découverte de la vaccination, sa révolution pour la santé mondiale, l’enthousiasme des populations à se faire vacciner pour être protéger jusqu’aux derniers épisodes qui ont conduit à la perte de confiance dans le corps médical et les vaccins, même au pays de Pasteur. Comprendre.
    En tant que citoyen, nous comprenons bien que les médecins, les gynécologues présents dans la salle, ne voient que le côté « dramatique » du sujet, leurs cabinets et services concentrant tous les cas déclarés de maladies pouvant être évitées par des vaccins ou cas de cancers. Lors du débat, ces professionnels ont beaucoup joué de ce seul argument pour convaincre. Ne pas parler des enjeux financiers, des pressions des laboratoires pharmaceutiques, de la transparence, de la qualité de fabrication. Jeu facile aussi car sur l’autre plateau de la balance, il n’y avait aucun médecin généraliste ou gynécologue de conviction opposée et tout aussi médecin qu’eux, et encore moins de médecins et spécialistes dont les cabinets et services sont de plus en plus envahis de pathologies neurologiques et autres mal identifiées pour lesquelles il n’y a aucun traitement. Assister à la dégénérescence de son patient en notifiant les caractéristiques de chaque étape pour mieux connaître la pathologie … Les seuls présents étaient dans le documentaire mais ne pouvaient pas répondre …
    Deux jeunes Citoyens armés de papiers et de chiffres ont joué le « contre-pouvoir » dans le débat. Mais, par manque d’expérience ils ne savent pas que ces guéguerres de chiffres ne mènent à rien. Il faut contrôler l’origine et crédibilité des données, comparer ce qui est comparable. Les chiffres et graphiques peuvent dire tout et son inverse !! Dommage car cela a induit des tensions inutiles.
    Argument de choc de « Mr. Gynécologue » jeté dans les derniers moments du débat : « J’ai une fille de 2 ans, trop jeune pour être vaccinée maintenant (humour au cas où le public n’aurait pas …) mais dans 10 ans, je la ferai vacciner sans hésiter ! » Argument désastreux pour des Citoyens conscients : un mouton se jette de la falaise, tous les autres doivent s’y jeter aussi ?? Dans 10 ans, si le Gardasil a été retiré du marché entre temps, reviendra t-il nous dire « Je vous avais promis de vacciner ma fille mais maintenant que je sais, je ne le fais pas !! » … Nous Maman, c’est maintenant.
    Le débat s’est perdu alors que l’on ne remet pas forcément en cause le bien fondé des anciennes vaccinations faites à « dose » raisonnable. Mais surtout des vaccinations qui sont venues se surajouter, avec des épisodes houleux depuis la fin des années 90 : Hépatite B, vaccin H1N1, et ...Gardasil !! Ceux qui ont créé le doute. La perte de confiance est là. Les représentants médicaux et de santé publique présents mardi soir n’ont absolument pas su trouver les mots et arguments pour redonner un peu de confiance et d’honnêteté aux citoyens venus poser leurs inquiétudes.
    Françoise

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  2. Bonjour aux CinéCitoyens,

    en tant qu’infectiologue je suis désolée de n’avoir pu assister à ce débat; Après avoir reçu différents retours je ne peux que m’alarmer que des adultes refusent malgré le conseil de leurs médecins de se faire vacciner (mettant en jeu leur Santé et leur Vie mais aussi celles de leur entourage) et plus grave encore, refusent de vacciner leurs enfants.

    Des jeunes femmes meurent en Calédonie de cancer du col évolué: c’est une mort lente et il n’y a aucune cure possible.
    Heureusement le Gardasyl est possible aussi après 18 ans, donc sans l’accord parental, cependant il est plus efficace avant le 1er rapport sexuel…

    Citoyenement vôtre,

    Elise

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    1. Chère Elise, la campagne de promotion du vaccin Gardasil en Calédonie n'a pas été de bonne fois. Fait très grave, la brochure envoyée aux parents qui pouvaient faire vacciner leurs enfants étaient mensongère. L'ASS pourrait être assigner en justice à ce titre et démontre malheureusement le parti pris des autorités de santé pour la vaccination, les yeux fermés sans prendre en compte les données indépendantes, les risques et la réalité épidémiologiques de la maladie. Il faudrait urgemment vous informer sur les cas de décès en lien avec un cancer du col en Calédonie: 81% des femmes touchées sont des mélanésiennes de province nord. Faut-il faire vacciner l'ensemble de la population ? Faut-il encourager l'utilisation d'un vaccin dont les effets secondaires graves ont été largement sous-estimés? Faut-il encourager l'utilisation d'un vaccin qui n'a PAS (encore, certes) démontré son efficacité sur les cas de cancer du col ? Les autorités sanitaires prennent ce risque, et il est parfois louable que des parents ne fassent pas courir ce risque à leur enfant, surtout dans un contexte médicale sécurisant et avec un suivi par frottis cervico-vaginaux réguliers.

      Avez-vous lu l'étude de l'Agence nationale de sécurité du médicament qui modélise l'effet de la vaccination à large échelle sur les décès du cancer du col ? Avez-vu lu que dans seulement 70 ans, nous obtiendrons une baisse de seulement 16% de décès comparé aux frottis en vaccinant tous les enfants ? Il est urgent de se renseigner, et de bien choisir sa source d'information

      Jérémy Anso

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  3. Je suis très content de la dernière séance.
    Le choix des vidéos était juste et pas caricatural.

    Les « invités » professionnels plus nombreux que d’habitude ont pu transmettre leurs … opinions.
    Je suis reparti presque convaincu qu’il faut vacciner à tour de bras,
    Le directeur de « Pasteur » n’a pas eu a parler beaucoup, les invités faisaient son « boulot ».

    Dommage d’avoir oublié de parler du Pr Joyeux,
    https://www.santenatureinnovation.com/la-lettre-du-professeur-joyeux/

    Je le suis depuis un vingtaine d’année, à propos de son étude ABARAC …
    Aujourd’hui à la retraite il est enfin Libre de dire ce qui lui semble juste,
    - notamment la dictature des labos
    - la méconnaissance ou la soumission des politiques,
    - et le refus catégorique de l’aluminium dans le corps des nouveaux nés.
    Fabrice

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  4. L'association belge " Initiative citoyenne" qui prône la liberté vaccinale a publié le 20 mars 2016 sur son blog la lettre adressée par l'Académie nationale de Médecine colombienne au Ministre de la Santé, dénonçant les risques des vaccins HPV :
    « Alors (…) que la France vient encore de sortir il y a peu des dépliants mensongers et dangereux tentant à faire croire que les effets secondaires de ces vaccins se limitent à de la fièvre, voilà que l'Académie nationale de Médecine (de) Colombie, a écrit le 14 mars un courrier recommandé au Ministère de la Santé du pays pour :
    - alerter sur les risques de maladies auto-immunes liés à ces vaccins
    - et appeler à une modification urgente des protocoles de vaccination
    - ainsi qu'une information plus correcte et loyale du public
    au vu des bénéfices non avérés de ces vaccins qui ne respectent pas du tout le principe "D'abord ne pas nuire"!".
    L'association publie à la suite la traduction intégrale de ce courrier .

    Après cette lecture, je reste perplexe devant l'assurance de nos médecins affirmant mordicus l'inocuité de Gardasil...
    Rosa

    http://initiativecitoyenne.be/2016/03/l-academie-nationale-de-medecine-colombienne-souligne-les-risques-des-vaccins-hpv-et-ecrit-au-ministere-de-la-sante.html


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  5. Bonjour Elise,
    Infectiologue … Combien de temps dans votre cursus médical pour l’étude des vaccins?
    En médecine générale : 4 heures, autant dire rien sur 9 années d'étude !
    La suite est facile à imaginer. Les visiteurs médicaux font bien leur travail, mais ils ne sont pas indépendants. Et le risque évident est de n’avoir qu'un son de cloche et de le promouvoir en affichant un titre de santé.
    En écoutant la conférence du Dr F Coutlée sur les papillomavirus humains https://youtu.be/ShQfpqk_5S0 on comprend que bien que l'infection soit très fréquente chez l'homme et la femme, seules les infections persistantes peuvent causer un cancer.
    Les lésions dites précancéreuses régressent spontanément pour la plupart.
    Selon moi, pour rester en bonne santé, la solution est de renforcer le corps par exemple en comblant les carences dues à l'alimentation, ou propres à une ethnie, ou encore à une région plus polluée comme en NC avec le nickel.
    De nombreux microbes vivent normalement dans notre tube digestif et sur notre peau, ils ne deviennent infectieux qu'à certaines occasions. Le contact avec les microbes est nécessaire à l'entretien et au bon fonctionnement du système immunitaire.
    Je ne ferai pas vacciner ma fille
    Betty

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  6. voila qui peut intéresser tous ceux qui se posent des questions sur les vaccins

    https://www.santenatureinnovation.com/danger-vaccin-enfants-vaccination-dangereuse/

    si lien inactif, faire un copier coller vers votre barre d'adresse

    Monique

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